Rythme

Bon, il faut que je fasse des efforts et que je me force un peu a ecrire dans mon blog si je veux qu’il reprenne vie, c’est pas encore completement desespere, je devrais me mettre a un genre d’ecriture automatique, ne surtout pas me relire et cracher le maximum de mot sans trop reflechir histoire de faire du contenu, peut etre qu’une bonne ame arrivera a y trouver un certains sens.

Je tenterais cette experience une autre fois, pour le moment n’ayant pas grand chose a dire et ayant plutot envie de pas me coucher trop tard, voire meme tot je vais me contenter de vous parler du livre que je suis en train de lire (que j’ai commence a Okinawa) malheureusement parrallelement a un autre que j’avais commence avant et que je prefere finir histoire de me concentrer dessus (le livre en question commence a Okinawa). Il s’agit d’un livre de Pirandello offert vraissemblablement par mon beau frere et que je ne lisais pas depuis un moment etant peu inspire par le nom de l’auteur, je ne saurais dire ce qu’evoquait ce nom pour moi mais l’impression etait (a tort) negative. Ce livre Un, Personne, Cent mille si je me souviens bien (pourquoi je mets de majuscule? je crois que c’est comme ca qu’on doit faire… ) me parle particulierement, il parle d’un mec qui se rend compte des ecarts de perception entre ce qu’il pense etre (il ne pense pas etre grand chose) et ce que les gens percoivent de lui, et il se rend compte en gros qu’on est personne et tellement de gens en meme temps et surtout que nous connaissons ce que nous projetons sur les gens plutot que ce qu’ils sont vraiment (n’etait vraiment rien en fin de compte ou etant des choses diverses). Je suis je crois particulierement sensible a ce sujet et j’ai hate de finir le livre que je suis en train de lire pour voir si il y a une issue a ce questionnement.

Bonne nuit,

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