À l’opposé (ou à l’instar ? Je doute) de l’herbe qui est toujours plus verte dans le jardin du voisin (ou dans son assiette suivant les jours), la merde qu’on a sous le nez sent toujours plus mauvais.
À l’opposé (ou à l’instar ? Je doute) de l’herbe qui est toujours plus verte dans le jardin du voisin (ou dans son assiette suivant les jours), la merde qu’on a sous le nez sent toujours plus mauvais.