Pour les amateurs voici le lien d’une interprétation particulièrement réussi.
L’interprétation par un père et sa fille (deux très grands pianistes) ajoute une dimension.
Pour les amateurs voici le lien d’une interprétation particulièrement réussi.
L’interprétation par un père et sa fille (deux très grands pianistes) ajoute une dimension.
Quelques photos prisent ces derniers jours sans lien apparent ou caché. une agence immobilière, la vue depuis le restaurant du conrad, l’entrée de takashimaya, un magasin de fringues au sud de chez moi, un reflet, le parc en dessous du bureau avec la lumière du soir et un crocodile dans la station de ginza.
Je suis dans le train et une fille très mal fagoté aux charmants cheveux blonds (décoloré) dont les cuisses plutôt appétissantes au demeurant sortent d’un abominable short en Sky bouffant, se regarde dans son téléphone en se tripotant les cheveux depuis 10mn, spectacle assez intrigant.
Ma fille m’a choppé une bonne crève et comme souvent dans ces cas là la sensibilité au monde est modifiée. En revenant de mon cours de piano où j’avais bien mieux joué que d’habitude j’ai remarqué des immeubles dont la forme m’a paru et me paraît toujours assez étrange. Les derniers étages notamment d’une espèce de gros immeuble biscornu.
J’imagine que ce morceau est connu de beaucoup mais je crois bien que je ne le connaissais pas, il est possible que je l’ai entendu mais il me semble que je l’aurais remarqué.
Il s’agit d’un morceau posthume de Schubert, D940, la fantaisie en fa mineur. C’est un morceau à quatre main et j’ai peur de ne pas trouver quelqu’un pour la jouer avec moi.
Sur la dernière photo on peut voir un centre de contrôle automobile qui semble toujours en activité.
Je ne saurais dire en quoi ces compteurs m’interpellent.