Pêche géante

Mon marchant de fruits et légumes m’a vendu à un prix assez exorbitant si on compare avec la France par exemple une pêche d’une taille surprenante. Et d’un poids presque stupéfiant (j’ose le mot).

Cette tomate est d’une taille tout à fait normal et la canette de bière a côté également. Les 4 objets sont alignés.

Je reconnais que l’intérêt de ce post laisse à désirer mais je suis plus en voyage, je sors pas trop de mon bled sauf pour aller au bureau et j’ai pas de sujet d’inspiration clair. La pluie et le beau temps c’est trop connoté et l’actualité j’ai peur de pas être complètement casher, du coup les pêches ça me semble pas mal.

J’attends qu’il fasse un peu moins chaud pour recommencer à faire fermenter du chou chinois, je compte bien manger ça tout l’hiver.

7 thoughts on “Pêche géante

  1. En dehors du fait que je possède la même balance Tanita (fiable dans le temps, à noter), je me demande si les pêches japonaises sont “élevées” aux hormones comme nos vaches (dont les veaux ne jouent pas au golf comme au Japon, sois-dit en passant). Pas certain néanmoins que la pêche vous nourrisse tout l’hivers (au contraire du choux fermenté), qui devrait mieux se conserver.
    Bonne dégustation et bonne journée !

    1. Je crois qu’ils se font bien chier, ils enlèvent des fleurs pour que les fruits restant soient plus gros, en général le résultat est en fait pas si terrible, vu le prix, 2 ou 3 euros pièces j’ai des attentes fortes souvent dessus, elles sont bonnes mais suffisamment pour justifier le prix. Celle là en l’occurrence était incroyablement grosse et mon marchand surpris d’avoir une pêche deux fois plus grosse que les autres m’a suggéré de l’acheter et étant bien avec le marchant j’ai tenté et en cette pêche est tout à fait bonne, en fait je me souvenais pas avoir manger de pêche aussi bien au Japon. Pour le chou il faut attendre que la température dans les pièces non chauffées (le couloir où je fais fermenter) descendent encore un peu. Encore quelques semaines.

        1. Le seul fruit confiturable et relativement abordable est la fraise. Le Japon est un relativement gros producteur de fraise, des variétés uniques, spécifiques de chaque région, Amao, cherryberry, tochiotome, et j’en passe, certaines assez étranges, des fraises blanches ou des fraises énormes. La saison commence en décembre et se termine fin mai. Et le prix d’une barquette de fraises est assez raisonnable.

          1. Dans ce cas, n’est-il pas plus simple de planter quelques fruitiers en palissade dans le jardin?
            Et au fin fond de la campagne, pour leur consommation personnelle, ont ils des fruits tout-venant?

          2. Je parle de Tokyo, à la campagne tout est plus simple. J’ai essayé diverses plantations mais j’ai pas beaucoup de place et le climat de Tokyo semble peu propice, ou alors je m’y prends mal. Et le rapport temps passé/résultat m’a semblé plutôt défavorable. Je suis aussi assez peu amateur de fruit, sauf quand ils sont bons, les petites bananes dans les îles tropicales, ou les mangues, ça j’aime, mais ce qu’on trouve en ville n’est en général pas d’une qualité suffisante pour me satisfaire pleinement. Je noirci un peu le tableau, je fais des tartes au abricots en juin, on mange des nashis en automne, les kakis je suis pas sûr de comprendre, les agrumes en hiver sont bons, on trouve des trucs très bien, buntan, decopon, ponkan, … il y a des choses intéressantes au Japon même au niveau des fruits.

  2. Heureux de savoir que la pêche est bonne 😉
    Pour le choux, j’ai découvert récemment la lacto-fermentation : c’est facile à faire et nécessite pas de température particulière (eau et sel). Cela se conserve bien et c’est excellent ! (on m’a fait goûter des courgettes lacto-fermentées légèrement vinaigrées : un délice).

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