La manière dont on juge dans les médias (et en partie dans les opinions publiques) des pays occidentaux de l’attitude de deux pays actuellement en conflit actif avec un ou plusieurs pays de leur voisinage semble quasi schizophrénique. Sans vouloir prendre partie pour l’un ou l’autre (ou l’inverse) on nous demande de trouver inacceptable l’attitude de l’un et acceptable l’attitude de l’autre alors qu’il fait bien pire. Étrange situation. Cela ressemble de plus en plus à un mauvais rêve.
Merci Franck. Je me sens moins seul sur ce point.
Après, pour savoir qui est aux manettes, il suffit de voir qui ne peut être censuré ou nommé sans attirer des ennuis.
Heureusement les lignes semblent bouger.
Seul il n’est pas possible de faire grand chose. Après il s’agit une fois de plus de dirigeants corrompus qui se maintiennent au pouvoir grâce à la guerre et les peuples qui en pâtissent.
Malheureusement ils sèment également les germes des futurs conflits en endoctrinant leurs jeunes.
Triste et prévisible….
J’espère néanmoins que le Japon saura garder la tête froide.
Sinon, parlons d’avenir. Un couple d’amis en revient, enchanté par la propreté, la civilité et tout ce qui fait apprécier ce pays de prime abord.
Cependant , l’évolution démographique étant ce qu’elle est, vois-t-on en dehors de la province les premiers signes d’un manque de jeunes?
Bonne journée.
C’est bien le problème. Tokyo attire la jeunesse de tout le pays, les jeunes en âge de procréer qui se retrouve coincé au moment le plus propice et qui ne pense pas forcément à faire des enfants. Une partie retourne en province mais c’est forcément plus compliqué. Le phénomène est bien plus compliqué, une des sources étant la longue période de déflation/gel des salaires. C’est contre intuitif a première vue mais il est pourtant évident que l’inflation couplée a une hausse des salaires engendre un transfert de richesse des riches/vieux/inactifs vers les jeunes/actifs. Il y a aussi que le Japon reste surpeuplé et que le niveau de population actuelle n’est plus nécessaire. A voir. Je reste optimiste dans la mesure où la nature n’ aime pas le vide.