En chemin dans la chaleur tropicale de Tokyo pour aller faire un test PCR qui s’est avéré positif. On dirait un titre de chapitre d’un vieux roman, mais ce sera en fait le texte de ce billet.
En chemin dans la chaleur tropicale de Tokyo pour aller faire un test PCR qui s’est avéré positif. On dirait un titre de chapitre d’un vieux roman, mais ce sera en fait le texte de ce billet.
Ces ruines japonaises m’impressionnent toujours autant.
J’avais vu ainsi des maisons englouties dans différents parties d’ Hokkaido et même sur le flanc sud du Mont Fuji.
La nature reprend vite ses droits et la vitalité des bambous demeure toujours impressionnante.
Je me demande si la voiture camouflée dans la verdure du premier cliché pas redémarrer…
Faute de frappe sur le natel.
Il faut lire”pourra redémarrer”.
Le propriétaire a du cesser de l’utiliser un moment avant de quitter sa maison (pour l’au-delà ou l’Ehpad, ce qui revient plus ou moins au même). Au milieu de nulle part les maisons en ruine c’est plus ou moins normale mais là on est dans Tokyo, on peut pas parler de centre-ville dans cette ville mais on est quand même pas mal au centre et le terrain vaut un bras. Il est sans doute compliquer pour la ville de saisir et revendre les biens abandonnés. En tout cas ça contribue grandement à l’intérêt des quartiers résidentiels de cette ville, ça ajoute du mystère à l’anarchie architecturale.